Quand tu as un squatteur à la table

À intervalles réguliers, Samnytt rend compte de l'image considérablement modifiée de la Suède à l'étranger, où elle est passée en quelques décennies d'un modèle presque utopique doté d'une forte cohéShow moresion sociale et de sécurité à un exemple d'horreur caractérisé par le multiculturalisme, l'islamisation, la division et une criminalité endémique d'une ampleur sans précédent. fusillades et explosions. Ces jours-ci, il était temps de publier d’autres critiques moins flatteuses sur la Suède.

Dans un article du New York Post, le journaliste et auteur britannique Douglas Murray exhorte les Américains à se tourner vers la Suède pour voir les conséquences de l'ouverture des frontières, compte tenu de l'afflux continu d'immigrés illégaux par la frontière sud du pays.

À intervalles réguliers, Samnytt rend compte de l'image considérablement modifiée de la Suède à l'étranger, où elle est passée en quelques décennies d'un modèle presque utopique doté d'une forte cohésion sociale et de sécurité à un exemple d'horreur caractérisé par le multiculturalisme, l'islamisation, la division et une criminalité endémique d'une ampleur sans précédent. fusillades et explosions. Ces jours-ci, il était temps de publier d’autres critiques moins flatteuses sur la Suède.

Dans un article du New York Post, le journaliste et auteur britannique Douglas Murray exhorte les Américains à se tourner vers la Suède pour voir les conséquences de l'ouverture des frontières, compte tenu de l'afflux continu d'immigrés illégaux par la frontière sud du pays.

Comme en Suède, il est plus facile de venir aux États-Unis illégalement que de tout faire selon les règles, et ceux qui gagnent de l'argent grâce à ce commerce sont les gangs criminels, en l'occurrence les cartels.

Murray écrit sur la façon dont le gouvernement de gauche suédois a laissé entrer tout et tout le monde pendant la crise des migrants, même ceux qui ont manifestement menti sur leur âge - les soi-disant enfants réfugiés non accompagnés. Cela, note-t-il, a eu des conséquences brutales, notamment sous la forme d'une augmentation des abus sexuels et des viols, et que la Suède est désormais le deuxième pays au monde en termes de nombre d'attentats à la bombe parmi les pays qui ne sont pas en guerre, seul le Mexique est pire.

Selon Murray, cela a été rendu possible par des politiciens qui prétendaient être gentils plutôt que de s'attaquer aux vrais problèmes.

Télévision australienne
Dans le cadre de cet article, Douglas Murray était également invité sur Australian Sky News, où le sujet du déclin de la Suède a notamment été abordé.

@all @here #alias

𝐏A𝐑T𝐀G𝐄R L'I𝐍F𝐎 C'E𝐒T É𝐕E𝐈L𝐋E𝐑 𝐋E𝐒 𝐀U𝐓R𝐄S.
Aɢʀᴇ́ɢᴀᴛᴇᴜʀ ᴅᴇ Vᴇ́ʀɪᴛᴇ́ ᴇᴛ ᴅ'ɪɴғᴏs ᴅᴇ Qᴜᴀʟɪᴛᴇ́ 
𝑫𝙚́𝒄𝙤𝒖𝙫𝒓𝙚𝒛 𝒅𝙚 𝙫𝒆́𝙧𝒊𝙩𝒂𝙗𝒍𝙚𝒔 𝒑𝙚́𝒑𝙞𝒕𝙚𝒔 𝒅𝙖𝒏𝙨 𝙢𝒐𝙣 𝙛𝒊𝙡 𝙙'𝙖𝒄𝙩𝒖𝙖𝒍𝙞𝒕𝙚́𝒔 vk.com/id672091241

Javier Milei DÉCLARE LA GUERRE À L’ONU : « Les confinements COVID étaient un crime contre l’humanité ! »
Une Déclaration Qui Fait Trembler les Institutions Show more
Le président argentin Javier Milei a frappé un grand coup sur la scène internationale en dénonçant les confinements COVID comme un crime contre l’humanité. Lors d’un discours explosif devant l’Assemblée générale des Nations Unies, il a accusé l’ONU et l’OMS d’avoir imposé des mesures liberticides sous prétexte de crise sanitaire, alors qu’en réalité, elles servaient à satisfaire des dictateurs sanguinaires.
La Révolte Contre le Léviathan Sanitaire
Selon Milei, la pandémie a été le prétexte parfait pour l’ONU de se transformer en Léviathan, un monstre bureaucratique aux multiples tentacules cherchant à contrôler les États-nations et à imposer une idéologie globale. Sous couvert de « science », des gouvernements du monde entier ont détruit des économies, réduit les libertés individuelles et mis à genoux des populations entières.
« Ils nous ont enfermés, privés de nos droits fondamentaux, imposé une dictature sanitaire au nom d’une peur savamment orchestrée », a tonné Milei. « C’est un scandale d’une ampleur inédite, et il faut que justice soit faite. »
L’Argentine Claque la Porte de l’OMS
Dans la foulée, Milei a annoncé une décision historique : l’Argentine se retire de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Il suit ainsi les traces des États-Unis sous Donald Trump, dénonçant une agence qui, selon lui, n’a servi qu’à propager des mensonges et à légitimer des mesures répressives.
Cette décision pourrait faire des émules : combien d’autres pays oseront défier ce système tentaculaire qui s’auto-alimente sur la peur et la soumission ?
Une Vérité Qui Dérange
Javier Milei ne fait que mettre en lumière ce que nombre d’experts et de citoyens dénoncent depuis des années :
Les confinements n’ont jamais prouvé leur efficacité, mais ont causé des dégâts irréparables sur la santé mentale et l’économie.
Les passeports sanitaires ont instauré une ségrégation numérique, créant une nouvelle caste de citoyens de seconde zone.
Les médias ont joué un rôle complice, imposant une pensée unique sous prétexte de « lutte contre la désinformation ».
Les gouvernements ont abusé de la crise pour renforcer leur contrôle sur les populations, et cette dérive pourrait bien ne jamais s’arrêter.
Et Maintenant ?
L’heure est venue de tirer les conclusions de ce qui s’est passé ces dernières années. Les confinements étaient-ils une simple erreur ou une manœuvre délibérée pour tester jusqu’où les populations étaient prêtes à se soumettre ?
Les propos de Milei ouvrent une brèche dans le mur du silence. Si son discours est suivi d’actions concrètes, cela pourrait être le début de la fin pour la tyrannie sanitaire.
Source : https://x.com/inevitablewest/status/1904288497063907811...…
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